Le poète n'en revenait toujours pas. Pour se détendre, il se mit à écrire et d'un seul coup, il entendit gratter à la porte. C'était Pépère qui avait demandé à Pêcheur de s'arrêter sous prétexte qu'il pensait qu'il avait une roue dégonflée. Avec sa magie, dont Chouânne l'avait dotée, il stoppa le temps pour aller à Mornay manger un poulet. Il avait extrêmement faim et ne pouvait plus tenir. Le poète se leva et regarda par le carreau et vit Pépère qui grattait. En fait, le Pépère avait repensé à un petit morceau de papier qu'il avait coincé derrière le pied de la chaise devant la cabane. Il voulait le mettre à l'abri dans sa valise. Ce petit papier lui avait été donné par Chouânne. Dessus, il y avait un dessin de chat avec écrit en dessous, je t'aime mon Tigrou. Chouânne lui avait affirmé que ce mot était de la main de sa maman, mais qu'elle ne pouvait pas lui dire comment elle l'avait eut. Donc, il grattait pour essayer de le récupérer, l'ayant caché ici pour ne pas le garder à la patte devant Lolo. Elle lui avait faut donner par Leïlanne quand celle-ci lui avait livré ses poulets. Il fut surpris par le regard du poète en levant sa grosse tête. Il le pensait à Sancoins et fut étonné. Il eut le temps de glisser le papier dans son chatventre et recula dès qu'il vit le poète. Celui-ci le regarda et lui dit à travers le carreau.
- Alors mon Pépère, que fais-tu là ? Tu as faim peut-être mon gamin.
Le Pépère le regarda d'un air autoritaire et méchant et lui répondit.
- Alors mon soûlard qu'est ce que tu fais dans ton gourbi ? Tu picoles sac à vin, il n'est que onze heures et tu es déjà rentré de l'auberge des moines. Occupe-toi de ta bouteille et de ta soûlarde et ne te mêle pas de mes affaires espèce d'alcoolique Pyrénéens rempli de whisky saoudien. J'ai une mission à remplir à Paris et déjà, je vais manger pendant que d'autres picolent et écrivent des messes noires en écoutant la messe en rap du docteur maboul. Salut espèce d'ivrogne et si tu mets ta voiture au fossé, tu n'as qu'à envoyé un courrier en recommandé au harnais qui est en congé non payé et manifeste avec les nez rouges.
Puis, il partit en courant et rentra dans l'hélicoptère. Le poète le vit fuir et disparaître étant donné que l'appareil lui était invisible. Il ne comprenait plus rien et se dit qu'à force d'espérer son retour, il le voyait partout. Un chat ne peut pas disparaître comme ça se disait-il. Il repartit à son bureau et continua d'écrire. Le Pépère dans l'hélicoptère sortit le bout de papier et fit des bisous dessus. Il le rangea dans la petite boîte qui contenait une mèche de cheveux de sa maman humaine. Il avait remarqué que ceux-ci étaient de la même couleur que ceux de Chouânne. Il regarda fixement le ciel et se mit à pleurer en silence et dit tout en envoyant des bisous vers le soleil. Je t'aime maman fée, je t'aime, je t'aime, je t'aime, Chouânne je t'aime. Il resta un moment dans l'appareil et repartit vers le fond du terrain. Il ouvrit une caisse et dévora un poulet. Il en sortit un deuxième et il s'assit sur la caisse en regardant le ciel les yeux humides.
Le brigadier dans la brasserie avait été relevé par les serveurs qui l'avaient mit sur la banquette près du groupe. L'huissier dit aux autres.
- Il me semble que cet homme est alcoolisé. J'ai cru comprendre qu'il en avait après vous ma sœur. Ce à quoi sœur Mathilde répondit.
- Oui, c'est un alcoolique notoire, c'est évident. Mais, il a dû prendre sa voiture sport qui émet beaucoup de CO2 et avec la nouvelle loi, nous devons avoir le même gramme de sang dans l'alcool par oreilles lol. Bon mon père, oui, c'est à toi que je parle vieux bibendum, avec ta Bugatti, tu vas être obligé de boire une baignoire de bière mdr. Tu me fais rire avec tes cheveux violets lol tu devrais danser le moon walk tu es trop la classe comme ça. Hic, serveur un autre vin chaud, hic, mais froid le vin.
La sœur était aussi saoule que le brigadier qui la prenait pour un extraterrestre. Pendant ce temps là à Paris le temps était figé et le Pépère à Mornay s'apprêtait à manger son poulet. C'est à cet instant qu'apparut Sybage de derrière le camion. Elle avait quitté Cookie pour retourner chez ses maîtres. Elle fut extrêmement surprise de retrouver Pépère ici. Il lui expliqua qu'il était revenu avec sa magie pour manger et reprendre des forces. Il venta les services de Lolo en exagérant immodérément.
- et toi Pépère, tu n'as pas combattu les nez rouges sur le périphérique. Lui dit la minette.
- Écoute, Lolo lui en a terrassé cent vingt-sept à coup de queue. Moi, j'étais sur le deuxième point de ralliement et j'ai combattu à pattes nues plus de deux cents nez rouges. Sous la terreur que j'ai imposée, ils ont fui. Mais, j'ai dû combattre un robot Android à l'effigie de Melenchon pour la tête et le corps de Marine pour le bas. Ce monstre mécanique criait à mort les banques et dehors les faux Français. Je l'ai brisé comme une branche de bois sec et puis c'était fini. Monsieur Macron m'a affirmé que j'étais un véritable héros. Je lui ai répondu qu'il l'était aussi dans son genre pour supporter toutes les avanies et les diatribes dont il est victime depuis un mois sur les réseaux sociaux.
La minette le regardait et salivait de voir ce joli poulet au bout de sa patte.
- Dit moi Pépère, tu as les yeux mouillés, tu as pleuré ? Tu me donnerais un morceau de poulet ?
- Écoute jolie minette, Pépère n'a jamais pleuré de sa vie. Mes yeux sont rouges, car le monstre Android crachait du gaz lacrymogène, voilà. Pour le poulet, je suis d'accord tien, je t'en donne la moitié.
Puis, il dévora le reste devant les yeux médusés de Sybage qui avait une cuisse au bout de la patte.
- Dit moi Pépère, tu es nul en math. Une cuisse sur un poulet ça ne fait pas la moitié.
- Écoute, je vais t'expliquer. Je suis plus gros que toi. Je fais onze kilos dont huit kilos d'intelligence qui demandent une part supplémentaire. En mathématiques, c'est ce qu'on appelle la moyenne compensée. Donc, par rapport à ta taille et au vu de ma matière grise, je t'en ai donné trois quarts au lieu de la moitié, car je suis généreux. Bon, je dois retourner à Paris, je dirais à Lolo que je t'ai vu. Salut Sybage.
À peine eut-il fini sa phrase qu'il disparut. La minette dit tout haut avant de repartir.
- Une cuisse les trois-quarts, c'est un amuseur. Moyenne, compensée, je t'en ferais moi des cours de maths. Enfin, que pouvons-nous faire !
- Alors mon Pépère, que fais-tu là ? Tu as faim peut-être mon gamin.
Le Pépère le regarda d'un air autoritaire et méchant et lui répondit.
- Alors mon soûlard qu'est ce que tu fais dans ton gourbi ? Tu picoles sac à vin, il n'est que onze heures et tu es déjà rentré de l'auberge des moines. Occupe-toi de ta bouteille et de ta soûlarde et ne te mêle pas de mes affaires espèce d'alcoolique Pyrénéens rempli de whisky saoudien. J'ai une mission à remplir à Paris et déjà, je vais manger pendant que d'autres picolent et écrivent des messes noires en écoutant la messe en rap du docteur maboul. Salut espèce d'ivrogne et si tu mets ta voiture au fossé, tu n'as qu'à envoyé un courrier en recommandé au harnais qui est en congé non payé et manifeste avec les nez rouges.
Puis, il partit en courant et rentra dans l'hélicoptère. Le poète le vit fuir et disparaître étant donné que l'appareil lui était invisible. Il ne comprenait plus rien et se dit qu'à force d'espérer son retour, il le voyait partout. Un chat ne peut pas disparaître comme ça se disait-il. Il repartit à son bureau et continua d'écrire. Le Pépère dans l'hélicoptère sortit le bout de papier et fit des bisous dessus. Il le rangea dans la petite boîte qui contenait une mèche de cheveux de sa maman humaine. Il avait remarqué que ceux-ci étaient de la même couleur que ceux de Chouânne. Il regarda fixement le ciel et se mit à pleurer en silence et dit tout en envoyant des bisous vers le soleil. Je t'aime maman fée, je t'aime, je t'aime, je t'aime, Chouânne je t'aime. Il resta un moment dans l'appareil et repartit vers le fond du terrain. Il ouvrit une caisse et dévora un poulet. Il en sortit un deuxième et il s'assit sur la caisse en regardant le ciel les yeux humides.
Le brigadier dans la brasserie avait été relevé par les serveurs qui l'avaient mit sur la banquette près du groupe. L'huissier dit aux autres.
- Il me semble que cet homme est alcoolisé. J'ai cru comprendre qu'il en avait après vous ma sœur. Ce à quoi sœur Mathilde répondit.
- Oui, c'est un alcoolique notoire, c'est évident. Mais, il a dû prendre sa voiture sport qui émet beaucoup de CO2 et avec la nouvelle loi, nous devons avoir le même gramme de sang dans l'alcool par oreilles lol. Bon mon père, oui, c'est à toi que je parle vieux bibendum, avec ta Bugatti, tu vas être obligé de boire une baignoire de bière mdr. Tu me fais rire avec tes cheveux violets lol tu devrais danser le moon walk tu es trop la classe comme ça. Hic, serveur un autre vin chaud, hic, mais froid le vin.
La sœur était aussi saoule que le brigadier qui la prenait pour un extraterrestre. Pendant ce temps là à Paris le temps était figé et le Pépère à Mornay s'apprêtait à manger son poulet. C'est à cet instant qu'apparut Sybage de derrière le camion. Elle avait quitté Cookie pour retourner chez ses maîtres. Elle fut extrêmement surprise de retrouver Pépère ici. Il lui expliqua qu'il était revenu avec sa magie pour manger et reprendre des forces. Il venta les services de Lolo en exagérant immodérément.
- et toi Pépère, tu n'as pas combattu les nez rouges sur le périphérique. Lui dit la minette.
- Écoute, Lolo lui en a terrassé cent vingt-sept à coup de queue. Moi, j'étais sur le deuxième point de ralliement et j'ai combattu à pattes nues plus de deux cents nez rouges. Sous la terreur que j'ai imposée, ils ont fui. Mais, j'ai dû combattre un robot Android à l'effigie de Melenchon pour la tête et le corps de Marine pour le bas. Ce monstre mécanique criait à mort les banques et dehors les faux Français. Je l'ai brisé comme une branche de bois sec et puis c'était fini. Monsieur Macron m'a affirmé que j'étais un véritable héros. Je lui ai répondu qu'il l'était aussi dans son genre pour supporter toutes les avanies et les diatribes dont il est victime depuis un mois sur les réseaux sociaux.
La minette le regardait et salivait de voir ce joli poulet au bout de sa patte.
- Dit moi Pépère, tu as les yeux mouillés, tu as pleuré ? Tu me donnerais un morceau de poulet ?
- Écoute jolie minette, Pépère n'a jamais pleuré de sa vie. Mes yeux sont rouges, car le monstre Android crachait du gaz lacrymogène, voilà. Pour le poulet, je suis d'accord tien, je t'en donne la moitié.
Puis, il dévora le reste devant les yeux médusés de Sybage qui avait une cuisse au bout de la patte.
- Dit moi Pépère, tu es nul en math. Une cuisse sur un poulet ça ne fait pas la moitié.
- Écoute, je vais t'expliquer. Je suis plus gros que toi. Je fais onze kilos dont huit kilos d'intelligence qui demandent une part supplémentaire. En mathématiques, c'est ce qu'on appelle la moyenne compensée. Donc, par rapport à ta taille et au vu de ma matière grise, je t'en ai donné trois quarts au lieu de la moitié, car je suis généreux. Bon, je dois retourner à Paris, je dirais à Lolo que je t'ai vu. Salut Sybage.
À peine eut-il fini sa phrase qu'il disparut. La minette dit tout haut avant de repartir.
- Une cuisse les trois-quarts, c'est un amuseur. Moyenne, compensée, je t'en ferais moi des cours de maths. Enfin, que pouvons-nous faire !
